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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 08:56

 

 

 

Semaine 26

projet

paul

Revision d’accords

Attention au depart des enfoirés

ambre

Revision de la balade des gens heureux

Manhattan kaboul

louna

Pour faire un homme de hugues aufray

Bastien/victor

Une version pour guitare seule de beat it et commencé une version à trois guitares de day tripper

younes

ferié

Clement/lucas

ferié

 

kristina

ferié

eline

 ferié

dounia

ferié

eric

ferié

clement

ferié

vincent

 ferié

carla

Basse de day tripper

bianca

Basse de beat it

axel

Basse de day tripper

nathan

Version pour guitare seule de beat it

Maeva-lea

 Allons dans les bois

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 08:42

 

lucien est à l'initiative de ce bel evenement

 

en-vie.jpg

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 08:39

nous avons décidé, avec le groupe B  fmg de beaulieu, que chaque élève présenterait un morceau qu'il étudie en cours d'instrument.

David nous a joué son morceau, nous l'avons étudié, les notes en clé de fa et clé de sol, et les croisements de mains écrits.

Pour appliquer ce que nous avons appris, David a joué son morceau, et chacun l'a accompagné en faisant semblant de jouer du piano sur sa table.

En fin de séance, quelques élèves ont réalisé la pièce directement au piano

 

 

 


 

 

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 08:27
une belle chanson de hugues aufray que louna souhaite chanter
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13 mai 2013 1 13 /05 /mai /2013 13:51

Francisco Salvador Daniel, directeur méconnu du CNSMD

 

Francisco Salavador Daniel a été directeur du conservatoire de Paris pour une durée de quinze jours, au moment de la Commune de Paris. Nommé en toute légitimité par la Commune à la mi mai 1871, il prit ses fonctions avec la ferme intention de réformer le système, mais force est de constater que personne, du personnel enseignant de l’époque, ne l’a suivi. Il mourut, fusillé par les versaillais le 23 mai 1871. On peut dire que c’est l’unique directeur du conservatoire de musique de Paris, parmi tous ceux qui ont été nommés durant ces deux siècles,  à s’être engagé avec des convictions politiques bien affirmées.

 

Pour ceux qui en ont du temps et de la patience, lisez ce texte admirable de Henri George Farmer, écrit en juillet 1914 !, un extrait d’une préface d’un livre de Francisco Salvador Daniel sur la musique arabe !  http://www.berberemultimedia.fr/sonothec/musique_maghreb.pdf

 

 

Le 18 mars 1871, le parti revolutiormaire se saisit de la puissance et

 

la Commune de Paris fut proclamée. Pendant deux mois, elle soutint le

 

siège contre l’armée regulière, basée a Versailles. I’administration de

 

Paris qui, selon Frederik Harrison, « ne fut jamais aussi bien adminis-

 

tree » était dirigée par neuf commissions, dont une, la Comission de

 

l'Education (se rapportant directement avec notre sujet) supervisait

 

les écoles, collèges, musées, galeries de peintures, théatres, etc., sous

 

le contrôle du «  Délégué », nommé Edouard Vaillant, duquel nous

 

avons déja parlé. Toutes ces institutions furent maintenues dans leurs

 

cours reguliers autant que possible sous la Commune.

 

Le Conservatoire de Musique, cependant, demeura fermé quelques temps. Le fait

 

etait que l’ecole, utilisée par les Allemands comme hôpital, était dans

 

un état de désorganisation déplorable. Le 12 mai, on apprit la nouvelle

 

du décès de son directeur Auber. Ceci determina la réorganisation de

 

l’école et aussitôt, on chercha un nouveau directeur parmi les adhé-

 

rents au regime communal. Les plus renommés etaient : Henry Litolff;

 

compositeur connu et vieux rebelle de 1848 à Vienne, De Villebichot,

 

un chef d’orchestre populaire, Raoul Pugno, devenu pianiste celebre,

 

Johann Selmer, un jeune norvégien prometteur, et puis Salvador

Daniel.


 

Litolff et De Villebichot étaient deja liés à un groupe de musiciens en

 

révolte et aux acteurs de la Federation Artistique, qui organisait des

 

fêtes pour la Commune. Pugno et Selmer avaient été désignés à une

 

commission pour la réorganisation de l’Opera. Restait donc Salvador,

 

malgré que sa nomination ait ete déja decidée quelques semaines aupa-

 

ravant et qu’il fut le mieux designé pour ce poste, d’abord en raison de

 

ses nombreuses années d’experience, en tant que professeur, et

 

ensuite pour son dévouement de coeur et âme pour la cause de la Com-

 

mune. Depuis mars, le 18, Salvador n’avait pas perdu son temps. Dans

 

son secteur, il était le premier à consolider la Révolution. Sous la Com-

 

mune, il fut désigné comme l’un des délégués adminsitratifs du VI°

 arrondissement, et son délégué à la Garde Nationale. 1l poussa aussi la

 

Commune à organiser l’Opera, ainsi que les théatres et concerts avec

 

son ami Albert Regnard, et fut un des délégués invités, le 1° mai, à la

 

réunion de la maison de l’Opera pour en discuter l’ouverture. Et la,

 

recommandé par Vaillant, le délégué pour l’Education, et Courbet, le

 

délégue des Beaux-Arts, il fut nommé délégué pour le Conservatoire

 

de Musique.

 

Cette nomination ne fut jamais reconnue officiellement ; je fus

 

informé par le secretaire que Salvador Daniel, n ’ayant pas exercé offi-

 

ciellement, il n’existe aucune piéce le concernant.  Pourtant, son

 

appointement est logiquement d’aussi bonne foi que celle de son suc-

 

cesseur, Ambroise Thomas. Où est la difference entre sa nomination,

 

par un gouvernement socialiste et celle de Thomas, par un gouverne-

 

ment socialiste republicain ? Selon les criteres de ces gens-la, on

 

devrait réellement ignorer les appointements de la révolution de 1789,

 

qui en fait avait établi le Conservatoire. Même Pierre, dans sa monu-

 

mentale Histoire du Conservatoire, ne fait mention ni de Salvador ni de

 

la Commune. Pas plus que le nom de Salvador ne parait dans Le Livre

rouge de la Commune de Heyli, qui doit, semb1e-t-il contenir toutes les

 

nominations de la Commune.

 

 

Salvador avait maintes fois critiqué le Conservatoire dans ses écrits,

 

dans la presse socia1iste (voir « La Marseillaise, 22 fevrier 1870 »), et à pre-

 

sent que la Révolution lui livrait les rênes, il était determiné de remé-

 

dier personnellement aux abus et sans perdre de temps. Aussi, sa

 

nomination apprise, il convoqua tous les professeurs et officiels du

Conservatoire a une réunion en ce lieu, le 13 mai. Il a été dit qu’il avait

 

menacé de renvoi ceux qui n’y répondraient pas. Ceci est faux. La cir-

 

culaire, citée textuellement par Wekerlin dans son Musiciana, ne

 

contient aucune allusion de cette sorte.

 

Le 13 mai à 14 heures, Salvador arriva a l’Ecole, mais n’y trouva que

cinq professeurs dont une dame (il n’y avait en fait que vingt et un

enseignants sur quarante-sept restés dans la ville de Paris). Cette mai-

 

gre assistance émut Salvador, mais il se consola avec l’idee que

 

l’absence de son Vénéré prédecesseur Aubert en fut la cause. Cepen-

 

dant, il s’adressa aux quelques personnes présentes, y compris Rety,

 

le secretaire, et Wekerlin, le bibliothécaire, afin de les convaincre de

 

l’importance de leur adhésion à la Commune, s’ils desiraient revoir le

 

renouveau du Conservatoire et des Beaux-Arts en général. N’avait-

 

elle pas lancé, elle que l’on disait barbare et vandale, un mandat en

 

faveur du prolongement de l’enseignement de l’art dans les écoles pri-

maires ? N’avait-elle pas ouvert et restauré le Louvre et d’autres gale-

 

ries d’art ? Et n’avait-elle pas veillé à l’administration de la grande

 

Bibliotheque Nationale ? La Commune n’avait-elle pas organisé des

fêtes musicales et d’art dramatique à grande echelle, rappelant les

 

jours de la grande Revolution ? Le grand Opera et les théatres ne

 

trouvèrent-ils pas leur place dans l’Administration ? L’Education sous

 

toutes ses formes n’avait-elle pas ete favorisée par la Commune au-

 

dela de toute expectative ? Si la Commune etait capable de ratifier tou-

 

tes les réformes des beaux-arts demandée par les peintres, sculpteurs,

 

etc., n’en ferait-elle pas autant pour les musiciens et le Conservatoire ?

 

Voici pourquoi Salvador supplia ses auditeurs de lui donner leur sou-

 

tien, ainsi qu'a la Commune.

 

 

Apres des au-revoirs cordiaux, l’assemblée se dispersa. Avant de

 

partir, cependant, Salvador questionna Rety sur les finances de

 

l’école. Cet homme, se montrant très humble devant Salvador, se

 

vanta plus tard d’avoir sauvé  les fonds du Conservatoire en faussant

 

les comptes, rnontrant ainsi un budget insignifiant qu’il eut l’insolence

de déclarer somme trop petite pour se la laisser approprier par Salva-

dor. Tous les officiels de la Commune furent ainsi abusés. Ces hom-

 

mes, comme devait le démontrer la Cour martiale, étaient honnêtes au

 

point d’en être ridicules, alors qu’ils pouvaient posséder des millions,

 

s’ils l’avaient voulu, ce que leurs calomniateurs disaient d’eux. Mais,

 

revenons a nos moutons.

 

Une deuxieme convocation fut arrangée, au Conservatoire, pour le

 

20 mai. En attendant, deux commissionnaires avaient été assignés par

 

la Commission de l’Education pour assister Salvador. L’un d’eux,

 

Chollet, était étudiant au Conservatoire et neveu d’un des professeurs

 

décédés. L’autre fut Paul Delbrett, secretaire de Salvador durant la

 

Commune. Amis depuis toujours, Delbrett avait été l’élève du èere de

 

Salvador. Brillant violoniste, il était engage a l’Opera de Paris. Après

 

la Commune, il devait prendre refuge à Londres où il réside jusqu’en

 

1890, jouant dans plusieurs orchestres de theatre.

 

Le 20 mai, Salvador et ses commissionnaires arrivèrent au Conser-

 

vatoire, se presentant a Wekerlin, ami immediat cle Salvador. Ce pre-

 

mier informa que la Federation Artistique - une association de litte-

 

rateurs, acteurs et musiciens - venait de prendre possession de

 

1’Ecole. Salvador envoya chercher le chef de la Federation, Montplot,

 

et voulut savoir de quel droit il faisait pareille intrusion. Celui-ci pro-

 

duisit une autorisation du maire du IX° arrondissement, que Salvador

 

refusa de reconnaitre, disant qu’il etait maitre du Conservatoire,

 

demanda 0 la Federation de se retirer, ce qui fut fait.

 

Ensuite Wekerlin amena Salvador et ses assistants à une petite salle

 

pour la réunion, où deux professeurs seulement attendaient. Le pau-

 

vre Salvador ressentit douloureusement cette situation : mais sa déter-

 

mination et son ideal etaient tels que même ce coup-là ne sut l’ébran·

 

ler. Alors, il se tourna vers eux pour leur parler des réformes qu’il pen-

sait faire.

 

Une de ses idées sur l’enseignement mérite mention, Il con-

damnait fortement le systeme qui voulait laisser une classe sous la

seule direction d’un unique enseignant. Rien ne pouvait mieux

 

detruire l’individualité et l’initiative. Dans l’avenir, il devait y en avoir

 

entre dix ou vingt, qui prendraient tour à tour chaque classe pour

 

démontrer leurs principes, ce qui élargirait les horizons des étudiants

 

plutot que de les rétrecir avec le systeme en vigueur (pareille idée etait

 

soutenue par Courbet et ses associes dans les Beaux-Arts).

 

 

A 16 heures 30, la réunion venant de se terminer, Wekerlin accom-

 

pagna Salvador jusqu’au foyer et lui dit en le quittant : «  Tu joues a un

 

jeu dangereux », auquel Salvador repondit : «  Je sais, je risque de pren-

 

dre une balle dans la peau, mais j’agis selon mes convictions ».

 

 

Le 20 mai, la Commune publia un decret supprimant toute subven-

 

tion de l'Etat aux theatres, etc., les placant sous l’administration de la

 

Commission de l’Education, qui devait substituer un plan de coopera-

 

tion a la place du systeme d’exploitation capitaliste existant. Salvador

 

fut nommé délégué pour assurer les réformes, et une notice fut

 

publiée, invitant les artistes, orchestres, choeurs, ballets et ensei-

 gnants de l’Opera, de l’Opera Cornique et du Theatre Lyrique à se ren-

 

contrer avec le délégué au Conservatoire de Musique, le 23 mai. Helas,

 

ce jour même, Salvador, chassepot en main, devait se trouver aux bar-

 

ricades, defendant la Commune. Mais racontons l’histoire dans sa

 

totalite.

 

 

Le sablier de la révolution tirait à sa fin. Le Paris prolétaire, fort de

 

sa foi en la Commune, ne voyait pas approcher sa fin.

 

Le dimanche 21mai, une fête «  monstre » fut organisée aux Tuileries pour venir en aide

 

aux blessés, veuves et orphelins de la Commune. Les masses rangées

 

de la Garde Nationale, mille cinq cents musiciens, jouaient sous la

 

baguette de Delaporte. Ce devait etre la demière fete de la Commune.

 

Salvador, l’un des promoteurs, etait present. A cette heure précise,

 

presqu’à bout de tir, les troupes regulières entraient silencieusement

 

dans Paris par une porte non gardée. Puis vint le cri « Aux armes l »,

 

mais bien trop tard, l’invasion étant totale. Des barricades furent dres-

 

sées et, au son du tocsin, la Commune se precipita a sa défense, défianr

 

la mort au nom de la cause.

 

 

Francisco Salvador Daniel, directeur du Conservatoire de Musique,

 

n’oublia pas sa dette envers la revolution sociale et il fut l’un des mil-

 

liers d’âmes héroiques à entrer dans l’ombre de la vallée de la mort, en

 

cette semaine sanglante de mai 1871.

 

 

L’Histoire dit : «  il mourut dans un engagement avec les troupes

 

regulières » (Reimann, Dictionnaire de la musique) ou qu’il «  fut tue

 

dans la bataille «  (Baker, Dictiormaire biographique de la musique).

 

C’est la la version des « amis de l’0rdre ». Quand les soldats reguliers

 tombaient en lutte ouverte, les journaux criaient au meurtre, Mais

 

quand eux-memes massacraient hommes, femmes et enfants, ils écri-

 

vaient : «  ...sont morts ». Salvador en fut un, et nous verrons comment

 

il est mort.

 

 

Dès le 22 Mai, les troupes régulières avaient envahi les quais de la

 

rive gauche de la Seine et atteint les Invalides. Ici, la Commune offrit

 

une forte résistance, mais dans la soirée du 23 mai, elle fut contrainte

 

de se retirer. Salvador prit part à la defense de ce quartier et se battit

 

dans la rue de l’Université et les rues contigues. Le 24 mai, à 5 heures 30

 

du matin, sept communards, sans doute sous les ordres de Salvador,

 

defendaient une barricade qui avait été érigée non loin de chez lui, rue

 

Jacob. Ceci dura jusqu’a midi, quand Salvador et un autre se retirèrent

 

dans sa maison, elle aussi barricadée.

 

 

Les habitants du quartier, opposés à la Commtme, trouvant les trou-

 

pes régulierès chez eux, dénoncerent aussitot les membres de la Com-

 

mune. De cette facon, Salvador etait marqué pour la vengeance !

 

Quand les troupes entrèrent rue Jacob, on vit s’approcher de la maison

 

de Salvador un officier et dix hommes. Dédaignant toute tentative de

 

fuite, il appela son camarade et tous deux ouvrirent aussitôt le feu sur

 

leurs agresseurs. Les portes forcées, ils entrèrent. Salvador, fumant

 

calmement une cigarette et l’autre furent saisis, ayant les armes à la

 

main.

 

L’officier, interrogeant Salvador, dit : « Tu es Salvador, un

 

membre de la Commune... Tu as trois noms : le tien, mais aussi Cle-

 

ment que tu signes dans les joumaux et Vaillant, dans le Comite Cen-

 

tral ». Tout ceci etait dérisoire. Salvador ne fut jamais membre de la

 

Commune pas plus qu’il n’écrivait sous le nom de Clement et Vaillant

 

etait une toute autre personne. Mais rien ne servait a discuter avec ces

 

soldats assoiffés de sang. «  Puisque tu es découvert, tu sais ce qui

 

t’attend », continua l’officier. Salvador se contenta de hausser les

 

épaules. « Suis-moi », dit le lieutenant, et le groupe descendit dans la

 

rue, marchant en silence jusqu’aux barricades. Salvador soufflant cal-

 

mement des nuages de fumée de cigarette. Le groupe s’arrêta et Sal-

 

vador, un peu pâle, se tourna vers l’officier et dit : «  Ca va, j’ai com-

 

pris ».

 

Ayant ajusté sa cravate de soie qui s’etait trouvée dérangée, il

 

se retourna et fit face courageusement (voire avec defi, selon Bernard)

 

au peloton, et designant son cou, demanda qu’on visa à cet endroit.

 

Deux soldats leverent leurs fusils et la salve résonna : Francesco Salva-

 

dor Daniel etait mort.

 

Trois ou quatre heures plus tard, son corps fut emmené à l’hôpital de

 

La Charité et ensuite fut enterré dans une fosse commune.

 

Henry-George Farmer

 

Juillet 1914

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 08:03

chanter et danser, c'est deja une performance; mais là, il y a accord parfait entre la voix, le corps et la musique; respect

 


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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 12:48

472856_457485104329670_148572831_o.jpg

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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 12:38

mathieu touzot est un guitariste poitevin, qui enseigne dans plusieurs ecoles de musique autour de poitiers; il vient d'enregistrer un disque, dont voici un extrait

 


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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 07:48
    Poitiers
    Mercredi 15 Mai, l’association Les Petits Débrouillards, vous invite à participer au café des sciences. Rendez-vous à 21H au Plan B à Poitiers pour une rencontre avec des spécialistes. Nous parlerons de la place du Hip-Hop dans les médias et la société en France et quels problèmes rencontre cette culture.

    Venez découvrir cette culture et bousculer vos préjugés avec nous,en partageant un moment convivial autour d’un verre.

    Avec Nicolas Gouasdoue doctorant en sociologie sur le Hip-Hop à l’Université de Rennes, Tommy Mazaud rappeur/slammeur de l’association "Joke Box" et "l’Astre en Moi" et Lucien Pacault danseur hip-hop de l’association "Otam".

    Rencontre suivie d’un « Open Mic ! »

    info: http://www.barleplanb.fr/cafe-des-sciences -la-culture-hip-hop-sa-place-dans-les-medias-et-la-societe-en-france/ et http://lespetitsdebrouillardspc.org/Cafe-des-Sciences-Hip-Hop-une-sous.html

    et suivi le 18 mais de la soirée ''EN.VIE" au Plan B:http://www.barleplanb.fr/soiree-en-vie/
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    4 mai 2013 6 04 /05 /mai /2013 19:13

    c'est un bonheur de travailler avec ces deux eleves; nous mémorisons une chanson en fmg le vendredi, qu'on apprend à jouer au piano, et le lendemain le samedi, cette chanson est tout de suite réutilisée dans le cours d'instrument pour être joué à la guitare; la complémentarité entre le cours de fmg et le cours d'instrument trouve ici toute sa pertinence

     


     

     

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